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1.
Metabolism-Clinical and Experimental ; 128:S33-S33, 2022.
Article in English | Web of Science | ID: covidwho-1799787
2.
Metabolism ; 128:155066-155066, 2022.
Article in English | PMC | ID: covidwho-1720628
3.
Metabolism ; 128:155064-155064, 2022.
Article in English | PMC | ID: covidwho-1720627
4.
Metabolism ; 128:155063-155063, 2022.
Article in English | PMC | ID: covidwho-1720626
5.
Journal of Applied Hematology ; 12(4):227-231, 2021.
Article in English | Scopus | ID: covidwho-1687240

ABSTRACT

The outbreak of the novel coronavirus-19 (COVID-19) rapidly grew into a worldwide pandemic. The link between the disease severity and higher levels of inflammatory markers was reported including cases of hemophagocytic lymphohistiocytosis (HLH), a potentially life-threatening disorder. We report herein a case of HLH trigged by COVID-19 infection and we review all reported cases of HLH secondary to COVID-19 among immunocompromised patients by searching PubMed publications till July 2021. A 69-year-old woman with a previous medical history of diabetes mellitus and rheumatoid arthritis treated with oral steroids presented for a 5-day history of fever, persistent cough, anorexia, and dyspnea. The diagnosis of COVID-19 was confirmed. She received empiric antibiotic therapy, oxygen supply, and corticosteroids. On day 17, laboratory investigations revealed bicytopenia with a platelets rate of 31,000/mm 3 and an hemoglobin rate of 8.2 g/dL. Hyperferritinemia, hypertriglyceridemia, and hypofibrinogenemia were noted. Bone marrow aspiration and biopsy revealed images of hemophagocytosis. The HScore yielded 200 points, representing 80%-88% probability of HLH. We continued corticosteroids and treatment. The disease evolution was favorable. The diagnosis of HLH secondary to COVID-19 shoud be considered in front of cytopenia, hyperinflammatory state, and a worsening clinical condition. Prompt diagnosis and treatment improve the prognosis. © 2022 Journal of Applied Hematology.

6.
Annales d'Endocrinologie ; 82(5):332, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1432776

ABSTRACT

Introduction Les corticostéroïdes sont largement utilisés en traitement adjuvant de l’infection COVID-19. Cependant, leur utilisation peut perturber le diabète. L’objectif de notre étude est décrire les caractéristiques épidémio-cliniques, thérapeutiques et évolutives des patients COVID-19 ayant un diabète déséquilibré ou cortico-induit. Matériels et méthodes Étude rétrospective menée au service des maladies infectieuse de Sfax (2 novembre 2020–18 janvier 2021), incluant tous les patients infectés par COVID-19 traités par corticothérapie. Résultats Sur 200 patients traités par une corticothérapie pour une infection COVID-19 confirmée, 26 patients développaient un déséquilibre glycémique. Douze patients connus diabétiques avaient des perturbations glycémiques importantes et 14 patients (53,84%) avaient un diabète cortico-induit. Le sexe masculin était dominant (18 cas, 69,23%). La dexaméthasone intraveineuse était utilisée dans tous les cas. Le diabète cortico-induit était apparu en moyenne dans 10jours après le début de la corticothérapie. La survenue de diabète sous corticothérapie forte dose (≥ 12mg) était noté dans 11 cas (78,57%) et sous faible dose (< 6mg) dans 3 cas (21,42%). La dose de corticoïde était maintenu élevée vu la sévérité de la forme clinique dans 23 cas (88,46%). L’évolution était favorable dans 22 cas (84,61%). À la sortie, tous nos patients étaient adressés à la consultation d’endocrinologie. Conclusion Malgré que notre échantillon faible, nous appelons à la prudence dans l’utilisation des corticostéroïdes. L’utilisation de la corticothérapie forte dose au décours de l’infection COVID-19 doit être prudente avec une surveillance stricte des chiffres glycémiques.

7.
Infectious Diseases Now ; 51(5):S67, 2021.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-1347635

ABSTRACT

Déclaration de liens d’intérêts: Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

8.
Infectious Diseases Now ; 51(5, Supplement):S73-S74, 2021.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1336508

ABSTRACT

Introduction La fin de l’année 2019 a été marquée par l’émergence d’un nouveau coronavirus, le SARS-CoV2. Ce virus a été rapidement responsable d’une pandémie majeure. La maladie COVID-19 se manifeste souvent par des symptômes respiratoires, néanmoins des manifestations digestives ont été rapportées soulevant le potentiel tropisme du SARS-CoV2 pour le tractus digestif. Objectifs Préciser les manifestations digestives liées au SARS-CoV2 et leur impact sur le pronostic de la maladie. Matériels et méthodes Une étude rétrospective incluant tous les patients hospitalisés pour une infection à COVID-19 confirmée par une RT-PCR et/ou un test rapide sur une période de 3 mois (1er novembre 2020 au 31 janvier 2021). Résultats Au total, 133 parmi 303 patients hospitalisés pour une infection COVID-19 confirmée, avaient des manifestations digestives (44 %). L’âge moyen de ces patients était 63,4±14 ans avec une prédominance masculine (sex-ratio=1,8). Les patients étaient obèses dans 17 % des cas. Une comorbidité était notée chez la majorité des patients: le diabète (46 %), l’hypertension artérielle (40 %), l’insuffisance coronaire (13 %) et la dyslipidémie (10,5 %). Aucuns malades n’avaient une pathologie gastrique ou hépatique sous-jacente. Les manifestations digestives étaient révélatrices de la maladie dans 68% des cas et isolés sans signes respiratoires dans 17 % des cas. Le délai moyen d’hospitalisation était 8±4 jours. Les principaux symptômes digestifs étaient la diarrhée (34,6 %), les vomissements (34,6 %), la douleur abdominale (26 %) et les nausées (10 %). L’examen clinique a trouvé une sensibilité abdominale dans 10 % des cas. Les principales anomalies constatées à la biologie hépatique étaient la cytolyse (52 %), l’hyper bilirubinémie (9 %) et la cholestase hépatique (10 %). La lipasémie était élevée chez deux patients (1,5 %). Un scanner abdominal a été pratiqué chez 7 patients montrant un kyste hydatique du foie non compliqué (1 cas), une iléo-jéjunite (1 cas), une cholangite non spécifique (1 cas), une hypertrophie de la tète du pancréas (1 cas) et une ascite de faible abondance (1 cas). Le reste des patients avait un scanner abdominal normal. Les formes graves étaient notées dans 41 % des cas. La perturbation du bilan hépatique était associée à des formes graves dans 42 % des cas. Cent neuf patients (82 %) avaient reçu une oxygénothérapie au cours de leur hospitalisation pour des manifestations respiratoires associées. L’évolution était fatale dans 19,5 % des cas. Conclusion Devant la fréquence des manifestations digestives, le tropisme entérocytaire du SARS-CoV-2 est bien établi. Le tropisme hépatique est aussi probable. Ces manifestations peuvent être révélatrices d’une infection COVID-19 mais aussi peuvent être à l’origine d’erreurs et de retards diagnostiques en l’absence de manifestations respiratoires.

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